Une matinée chez maîtresse

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il y a 3 ans

J'attendais à la station de métro convenu. Kriss n'était pas à l'heure et l'espace de quelques minutes je me demandais si elle ne m'avait pas posé un lapin. Mais non la voici qui s'arrête, qui descend de voiture, je la trouve plus belle que la dernière fois, son tailleur lui va mieux et le corsage beige légèrement déboutonné est terriblement sexy, de plus elle est chaussée de lunettes, je n'avais jusque-là pas remarqué qu'elle en portait. Elle me toise quelques secondes :

  • Alors toujours prêt !
  • Oui ! Oui qui ?
  • Oui maîtresse
  • Alors en voiture !

Nous roulons quelques instants, puis elle s'arrête de nouveau, pour faire monter un deuxième homme. Ce dernier entre dans le véhicule en me disant gentiment " bonjour ! ", mais Kriss intervient en nous intimant le silence.

Au bout d'un ¼ d'heure nous voici arrivés

  • Bon vous allez prendre le petit escalier à gauche, la femme de ménage va s'occuper de vous. Et moi je vous retrouve tout à l'heure... pour bien vous faire souffrir. Ah cette expression du visage quand elle nous dit cela, une vraie promesse, terriblement excitante.

  • Bonjour je m'appelle Angélique, je suis la femme de ménage. Angélique est une jeune antillaise fort agréable, mais je n'imaginais pas une tenue pareille pour un tel rôle, jeans et chemisier à carreaux. Je me demandais quel rôle elle aurait par la suite.

Nous rentrons dans la cuisine, superbement aménagée, et là surprise un petit déjeuner très complet nous attend.

  • Voilà de quoi prendre des f o r c e s ! Quand vous aurez fini, vous sonnerez et je viendrais vous chercher pour vous préparer. La domination commencera à 10 heures et se terminera vers midi. Après vous pourrez prendre une douche et si vous le voulez un repas léger. Vous ne pourrez pas dire qu'on ne vous soigne pas ! Je n'ai pas spécialement faim, mais je mange néanmoins une tartine avec un café au lait, mon compagnon, lui s'empiffre, et comme il ne fait aucun effort pour entamer la conversation, je n'en fais pas non plus. Ayant donc fini avant lui, j'attends donc le moment de sonner et de passer aux choses sérieuses.

A 9:45 nous sonnons Angélique.

  • Alors mes cocos, c'était bon ? Bon maintenant suivez-moi ! Et elle nous dirige vers un petit vestibule.
  • Voilà de quoi déposer vos affaires ! Vous allez vous mettre complètement à poil, y compris les chaussettes et la montre. Après nous être exécuté, Angélique nous passe autour du cou un collier d'esclave et nous demande à nouveau de la suivre dans cette tenue. Nous voici dans les sous-sols ou une porte est protégée par un digicode.

La pièce est très grande, les murs sont blanchis à la chaux et il y a tout un attirail pour S.M., une croix de Saint-André, un pilori, une cage et bien sûr beaucoup de chaînes. D'autres objets font insolites dans ce lieu, notamment un tableau noir, un vrai tableau noir avec son porte-craie. Angélique nous suspend les poignets en l'air et nous fixe une barre rigide entre les chevilles afin de maintenir nos jambes écartées.

Kriss entre alors, elle ne s'est pas changée et porte toujours le même tailleur, mais surprise, elle n'est pas seule, deux personnages l'accompagnent : une grande femme rousse aux cheveux assez courts, elle aussi est en tailleur celui-ci est noir, très strict ; et il y a aussi un homme genre taciturne en veston cravate. , Ce dernier s'assied sur une chaise sur le côté très en retrait par rapport à ma position. Les deux femmes s'installent devant nous et quittent toutes deux leur veste de tailleurs. Jenna (la rousse) en restera là et elle s'assoit tandis que Kriss retire aussi sa jupe.

La voici qui s'approche de nous sans rien dire, se caressant les seins à travers son corsage maintenant à moitié déboutonné. Je sens monter une certaine excitation, ce qu'elle attendait sans doute, elle glisse 2 mots à Angélique, qui détache le 2ème esclave, puis l'enferme dans une cage. Je vais donc avoir l "honneur " de commencer.

Kriss a finit de se déboutonner ; elle conserve néanmoins son corsage ouvert, en dessous un soutien-gorge noir, et en bas une petite culotte rose. On ne peut pas dire qu'elle fait des efforts d'imagination en accoutrement, mais elle m'avait prévenu que fétichisme, sous-vêtements et tout cela n'était pas son truc. Par contre quelle sensualité, en dandinant, elle s'approche encore plus de moi, puis elle me saisit chaque bout de sein entre le pouce et l'index et commence à tourner. J'adore cette " caresse ", elle le fait très bien, provoquant quasi instantanément une solide érection.

  • Qui t'a autorisé à bander ?
  • Personne Maîtresse

Et vlan, voilà que je reçois une gifle magistrale, j'en espère une autre, mais non elle continue à me faire le bout des seins de plus en plus fort, finissant par m'arracher de petits cris de douleurs (ou plutôt de douleurs mêlées au plaisir.

  • On t'a autorisé à crier ?
  • Non Maîtresse ! J'attends la gifle, mais elle ne vient pas, me signifiant donc implicitement que c'est elle qui commande le jeu, faisant ce qu'elle veut quand elle veut.

Elle me passe alors un lacet autour de mes couilles et le serre fortement, puis elle continue de me travailler les tétons, mais cette fois elle le fait du bout des ongles. Je délire de plaisir, ma bite est tendue au maximum. Une double paire de gifle complètement inattendue et complètement imméritée vient me surprendre. Je n'en peux plus je veux encore qu'elle me gifle, je veux encore qu'elle me t o r t u r e les seins, Cette fois c'est ma pine qui est giflée, j'aime moins mais qu'importe, c'est elle la maîtresse, elle peut à ce moment là me faire ce qu'elle veut. Ses ongles s'enfoncent de plus en plus dans mes seins, je n'en peux plus, je hurle de douleurs et reçois à nouveau 2 paires de gifles. Les larmes me montent aux yeux, mais je suis en extase. Je ne regrette vraiment pas d'être venu.

  • Bon je vais te rougir le cul ! Elle passe derrière mois, armée d'un martinet et commence à me cingler les fesses, les premiers coups sont en fait destinés à tester ma résistance à la douleur. Quand elle croit avoir trouvé le bon coup, elle me dit :
  • Tu vas compter jusqu'à vingt et chaque fois tu me diras merci maîtresse.
  • Oui maîtresse !

Le premier coup sérieux arrive, il reste très supportable

  • Un merci maîtresse ! Le second sera un peu plus fort !
  • Aie ! Deux ! Merci maîtresse !

Quel métier, elle sait doser exactement ses coups, ne pas les rendre insupportables, mais à la limite quand même ! Arrivé au 19ème coup, je suis quand même content de savoir que cela vas finir :

  • 19, merci maîtresse !
  • Comment 19, c'était le 18ème !

Que faire, que dire sinon s'incliner :

  • Peut-être pardon Maîtresse, j'ai du me tromper !
  • Tu as voulu mentir à ta maîtresse, tu vas être puni.
  • Oui Maîtresse ! Le 20ème coup tombe beaucoup plus fort !
  • Pitié Maîtresse !
  • Pardon j'ai mal entendu !
  • 19, merci Maîtresse. Le 20ème coup tombe, puis comme je le craignais, elle n'arrête pas, les coups sont vraiment un peu trop forts, aura-t-elle l'intelligence de s'en apercevoir ?
  • 23, merci maîtresse, pitié maîtresse je n'en peux plus
  • Ta gueule sale pédé ! Un 24ème coup tombe puis un 25éme
  • 25, maîtresse merci, je t'en supplie arrête
    • J'arrête quand je veux et sûrement pas quand tu me le demandes ! Mais le 26ème est moins fort ! Nettement moins fort, je ne comprends pas bien
  • 26, merci maîtresse !

A trente elle s'arrête, elle me fait face, et retire son corsage et son soutien-gorge. Ses tétons sont très sombres et très gros, de plus en ce moment ils sont bandés de plaisir. Comme j'aimerais les sucer mais je ne rêve pas, je sais que c'est probablement impossible.

  • Alors, c'était bon !
  • Oui Maîtresse !
  • Tu en veux encore ?
  • Pas tout de suite Maîtresse !

Elle saisit à nouveau mes bouts de seins et les serres avec ses ongles. Ca j'aime, ca fait mal mais en même temps ma bite se remet à bander au maximum. Tout d'un coup, elle me saisit les couilles et se met à me les tordre. Je n'aime pas trop. Malheureusement dans les séances de dominations, il y a des trucs qu'il faut supporter et qui ne font pas grand-chose. Puis voilà qu'elle me pince les couilles avec ses ongles, je n'aime pas trop d'habitude, mais je dois avouer qu'elle fait cela très bien.

Elle se dirige maintenait vers un petit placard et revient avec une petite cassette d'où elle extrait une série de pinces. La première pince sera pour mon sein droit. Je crie mais c'est supportable, c'est même assez bon ; la 2ème pour l'autre sein, puis elle m'en placera 4 sur chaque couille. Elle saisit tout d'un coup les pinces qui sont sur mes tétons, fait semblant de me les enlever, puis me les remet, je pousse un râle de jouissance et de douleur.

Kriss est apparemment très excité, et de temps en temps elle se pince ses propres tétons

  • Dis donc gros vicieux, qu'est ce que tu as à mater mes seins ? Et paf je reçois une nouvelle gifle, je tends l'autre joue, mais la 2ème ne vient pas !
  • Et puis quoi encore, ca te ferais trop plaisir.

Elle cherche quelque chose dans sa cassette et revient cette fois avec des poids en plomb, après chaque pince elle posera un plomb. Aux seins, cela reste supportable, aux couilles ca commence à faire sérieusement mal. D'autant qu'elle va maintenant doubler, puis tripler, puis quadrupler les plombs. Mais Kriss est une dominatrice experte, elle sait qu'elle n'aura du plaisir à regarder la souffrance de ses esclaves que si celle-ci reste un tout petit peu au-dessus de ce qu'ils peuvent supporter mais pas au-delà. Elle m'enlève donc les pinces aux couilles. Bon s a n g le fait de les enlever fait presque aussi mal que de les mettre. Elle dit 2 mots à Angélique qui -surprise- me détache.

  • A 4 pattes !

Je m'exécute, les poids aux pinces, n'ayant maintenait plus mon torse pour compenser leur action tirent v i o l emment sur mes tétons, elle me fait ainsi faire le tour de la pièce, me fouettant quand je ne vais pas assez vite.

  • Tu aimes ce que je te fais esclave ?
  • Oui maîtresse !
  • Tu ferais n'importe quoi pour ta maîtresse ? ,

Oh là ! La question piège ! Attention à la réponse !

  • Tu réponds oui, et à ces mots le martinet single à nouveau mes fesses
  • Oui maîtresse !
  • Allonge-toi par terre !

J'obéis et je me couche sur le dos, les poids cessent alors de me faire mal ! Kriss saisit à nouveau le martinet et me frappe la poitrine, pas trop fort mais de façon à ce que la trajectoire du coup rencontre l'endroit où les pinces sont accrochées à mes tétons. Et bien sur l'une des pinces se décroche m'arrachant un cri de douleur. Il faudra plusieurs coups pour que l'autre se détache à son tour sous l'action du martinet.

  • Qu'est ce qu'on dit,
  • Merci Maîtresse !
  • Tu veux souffrir encore ?
  • C'est toi qui décides Maîtresse !
  • On va passer à autre chose !

A ces mots, Angélique me replace dans la même position qu'au début, puis se déshabille complètement. Elle non plus n'est pas mal du tout et je me la ferais volontiers. Kriss est revenue quelques instants auprès de Jenna (qui a part sa veste de tailleur, n'a entamé aucun déshabillage) et lui roule une pelle magistrale. Kriss revient maintenant avec un gode ceinture dans la main, elle retire son slip puis se harnache avec le gode. Angélique règle la chaîne qui retient mes poignets au plafond afin de donner du mou.

  • A genoux ! Esclave !

Je m'exécute, bien sûr ! Kriss se plante devant moi :

  • Suce !

J'en étais sûr ! Encore un machin qui ne me fait rien, (et encore j'ai échappé jusqu'ici au léchage des pieds et des jambes). Je préférais 1000 fois lui lécher le trou du cul, mais je me dis que cela viendra peut-être ! Je lèche donc le gode ceinture. A chaque fois que je fais mine d'arrêter, elle m'ordonne de continuer, bref cela dure des heures, et en plus ca me fait débander. Tant pis après tout cela me repose. Jusqu'ici elle avait compris mes réticences sur certaines pratiques. Là, non ! En apparence ! Je présume qu'après le gode va atterrir dans mon cul ce qui est quand même plus intéressant. Enfin, elle me fait arrêter.

Kriss se tourne vers Angélique

  • Tu peux ?

Je me demande de quoi il est question, quand je vois Angélique s'accroupir sur une cuvette que je n'avais pas remarquée, puis pisser dedans. Du coup me revoilà devant un tel spectacle en train de rebander.

Elle met ensuite la cuvette au niveau du gode ceinture de Kriss qui le trempe dedans. Je crois avoir compris ce qui va ce passer. Effectivement, elle s'approche à nouveau de moi et me demande de lécher le gode dégoulinant de pisse. Ca j'adore, c'est avec avidité cette fois que je lèche l'instrument ne voulant rien perdre de ce précieux liquide. Malheureusement, ca ne dure pas très longtemps. La suite fut simplement hallucinante. Angélique se saisit d'une louche, puis entreprit de puiser dans la cuvette, pour emplir trois coupes de champagne pour. Kriss, Jenna et Victor (le type taciturne en veston cravate) Ce dernier à d'ailleurs sorti son sexe de sa braguette et bande fort joliment.

Les trois complices trinquent joyeusement, puis trempent leurs lèvres dans le pipi d'Angélique. Kriss ressert un nouveau patin à Jenna, puis tandis que cette dernière et Victor regagne leur place respective, Kriss habille le gode d'un préservatif. Angélique me détache pour me positionner sur une table. J'ai les poignets attachés à deux extrémités de la table, tandis que mes chevilles sont tirées en l'air par 2 chaînes. Je suis donc là couché sur le dos les jambes en l'air ; les fesses très proches du bord de la table :

Kriss s'approche, elle tient toujours son verre de pisse à la main, et sans doute pour me narguer, l'avale d'un trait ! La revoici soudain toute douce :

  • Si tu continue à être un bon esclave tu pourras en boire plein tout à l'heure !
  • Merci Maîtresse !
  • Qu'est ce qu'il va t'arriver maintenant ?
  • Vous aller m'enculer maîtresse !
  • Tu aimes ça te faire enculer ?

Je ne suis pas du genre à me faire piéger par une question comme ça

  • J'aime tout ce que tu me fais (parfois, je la tutoie, parfois je la vouvoie, elle s'en fiche apparemment)
  • Je t'ai pose une question ! Tu réponds à la question.

Et pour me punir voilà qu'elle me serre les couilles. Elle me fait réellement mal. Tant pis, je lui dis ce qu'elle souhaite entendre !

  • Oui Maîtresse, j'aime me faire enculer !

Et le gode a déjà pénétré mon cul, me provoquant un plaisir trouble, encore une fois je ne peux que m'extasier devant son métier et sa pratique. Elle s'enfonce de plus en plus loin et commence des mouvements de va et vient

  • C'est bon esclave ?
  • Oui Maîtresse !
  • Mais ça ne vaut pas une vraie bite ?
  • Je ne sais pas maîtresse !
  • Tu ne t'es jamais fait enculer par un homme ?
  • Non Maîtresse !
  • Tu le feras pour moi ?
  • Je ne sais pas Maîtresse, (je me rends compte que je n'ai pas dit non)
  • Si tu ne sais pas, moi je sais pour toi ! Mais il faudra me le demander !
  • Oui Maîtresse (je crois avoir trouvé une porte de sortie pour échapper à cela, je n'ai pas trop envie, mais ma défense est faible)
  • Vas-y, demande le moi !

C’était donc cela !

  • Je ne sais pas maîtresse !
  • Fais-moi plaisir, tu es un bon esclave !

Le ton a complètement changé, je me sens craquer.

  • S'il te plaît, cela me ferait tellement plaisir de te voir prendre par une bonne queue.

Elle dit ça tout en ralentissant le mouvement de va et vient de son gode ceinture, tandis que ses doigts pétrissent à nouveau le bout de mes seins. Je résiste encore mais je sais que je ne tiendrais plus longtemps.

  • Bon répète après moi " Je veux une bonne bite dans mon cul d'esclave "

Je ne réponds pas.

  • Tu sais très bien que je n'ai pas besoin de ton avis ! Simplement, ça me ferait tellement plaisir que cela soit toi qui le demandes !

L'argument est fort et incontournable :

  • D'accord Maîtresse ! Tout ce que vous voudrez !
  • Donc répète après moi " - " Je veux une bonne bite dans mon cul d'esclave "
  • Je veux une bonne bite dans mon cul d'esclave !

Son visage est radieux ! Je devine que pour elle cela constitue l'un des moments fort de la domination.

  • Tu as droit à une récompense ! Tu préfères me lécher un bout de sein ou alors le trou de mon cul.

J'ai une envie folle de lui lécher le trou du cul mais je pense que cela viendra de toute façon, alors que lécher le sein d'une dominatrice est quelque chose d'exceptionnel :

  • Le sein, Maîtresse !

Je m'attendais à tout sauf que cela soit vrai, mais elle me tend le bout de son sein gauche :

  • 20 secondes pas plus !

Je lèche avec avidité ce petit bourgeon durci, mais le temps passe trop vite, je comprends aussi que maintenant je suis enchaîné à ma promesse. Tant pis, on verra bien. Puis surprise, Angélique, me détache, me met une laisse après mon collier de cou et me dirige vers la cage. Elle libère James, l'autre esclave et m'enferme.

Cela va donc être le tour de James de subir les caprices de Kriss. Ma visibilité n'est pas terrible puisque dans cette cage trop petite, on ne peut guère bouger, je n'aperçois la scène qu'en regardant pardessus mon épaule. Elle domine James, préférant pour ce qui le concerne, lui travailler les couilles, plutôt que le bout des seins. Encore, une fois elle a l'intelligence de prendre en compte les fantasmes de ses patients sans pour cela négliger ce qui est le plus important pour elle : le spectacle qu'elle met en scène pour son propre plaisir (et celui de quelques amis, semble-t-il)

J'ai bien sûr complètement débandé, mes couilles sont douloureuses, mes fesses toutes chaudes et mes tétons très sensibles. J'aperçois Victor dans son coin qui se masturbe et je me demande si c'est sa bite que je vais recevoir dans le cul ou celle de James, a moins qu'un autre larron... Ce sera pour moi une première, mais je ne vois pas comment j'aurais pu résister à Kriss et a ses minauderies. De toute façon nous en avions plus ou moins parlé lors de notre rencontre préalable, et puis je suis venu ici en toute connaissance de cause.

James apprécie beaucoup moins bien que moi le gode trempé d'urine, par contre il se fait enculer par le gode avec beaucoup plus de bonne volonté que moi. Globalement, Kriss passera beaucoup moins de temps avec ce dernier qu'avec moi-même.

Ce dernier est à nouveau attaché comme au début. Angélique vient me chercher et Kriss m'ordonne de marcher à 4 pattes, je me dirige maintenant vers James et me voilà à la hauteur de sa bite.

  • Suce ! Le James bande assez mou ; mécaniquement comme dans un rêve je lui lèche la verge, c'est bon, c'est doux.
  • Je ne t'ai pas dit de lécher, je t'ai dit de sucer.

Alors, j'introduis le gland dans ma bouche, et le suce. James à l'air d'apprécier son sexe grossit dans ma bouche, j'ai honte de ce que je fais mais mon corps lui réagit bien en me faisant rebander ma pine. Mais voici que survient Victor, qui s'est maintenant complément mis à poil. Kriss me fait relever. Victor suce à son tour la bite de James, il sucera aussi la mienne mais très peu de temps. Heureusement d'ailleurs parce que psychologiquement ça ne me fait rien du tout.

  • Laquelle tu veux demande Kriss

Victor désigne la queue de James, nettement plus grosse que la mienne, et lui place un préservatif, Kriss demande alors à James d'enculer Victor. Ce dernier a l'air surpris, s'attendant plutôt au contraire, mais un coup de cravache l'oblige à obéir.

  • Et interdit de jouir menace Kriss ! , puis s'adressant à moi :
  • Et pendant ce temps tu vas le sucer !

Je suce donc la bite de Victor qui s'est agrippé au bord de la table tandis que James l'encule. Kriss donne des coups de martinets assez légers à ce dernier pour maintenir son érection semble-t-il. Il s'arrête au bout de quelques minutes.

  • Ben quoi qu'est ce qu'il y a ?
  • Je suis obligé de m'arrêter, je vais jouir.
  • Alors retire-toi ! Connard Et Kriss ponctue son ordre d'un formidable coup de cravache. James quitte le cul de Victor et éjacule dans son préservatif.
  • Bravo ! C'est malin retourne dans ta cage !

Je crains que Kriss m'oblige à prendre le relais, mais pour l'instant je continue à sucer Victor, sa queue est chaude et douce, je réalise que c'est la 2ème fois de ma vie (et de la matinée) que je suce une queue. Mais je trouve cela bien agréable. Kriss lui demande :

  • Tu veux qu'il te reprenne ?
  • Non, j'ai envie de jouir, c'est moi qui vais l'enculer !
  • Alors, c'était bon la bite ?
  • Oui maîtresse, délicieux !
  • Tu n'es qu'un pédé ! Dis le
  • Je ne suis qu'un pédé maîtresse
  • Et maintenant tu vas te faire enculer par la bonne bite que tu viens de sucer
  • Oui maîtresse
  • Répète tout
  • Et maintenant je vais me faire enculer par la bonne bite que je viens de sucer.

C'est Angélique qui une fois de plus me place sur la table comme tout à l'heure, et Victor après s'être mis un préservatif s'apprêta à me pénétrer tandis que Kriss une fois de plus joue avec le bout de mes seins. Sa bite à un peu de mal à entrer, il f o r c e un peu puis entre 2 centimètres puis d'un coup de rein fait pénétrer sa bonne queue dans mon trou. C'est loin d'être désagréable d'autant que Kriss me travaille bien les seins. Ca dure plusieurs minutes, puis il jouit et se retire, laissant mon trou du cul béant de douleur trouble.

Kriss m'intime l'ordre de me mettre à genoux près du tableau noir et d'attendre. Victor, soulagé quitta la pièce, je ne le reverrais pas pendant le reste de la séance. Pendant ce temps-là, Kriss s'approche de la cage où est enfermé James ; Ils échangent quelques paroles que je n'entends pas puis, elle fait ouvrir la porte, le libère et alors lui donne congé avec un magnifique sourire. Il veut l'embrasser, elle n'y tient pas trop mais accepte quand même un petit bisou sur la joue, puis notre homme disparaît accompagnée d'Angélique.

Pendant ce temps Kriss et Jenna se refont des patins. Puis, Kriss tout en en continuant à embrasser partout sa copine entreprend de la déshabiller, lui laissant que son slip. Je peux alors admirer sa poitrine opulente bien ferme terminée par de belles pointes brun foncé. Elles se calment enfin et discutent de je ne sais quoi, en fait, elles attendent le retour d'Angélique qui finit par réapparaître toujours toute nue

  • Il est parti ?
  • Non madame, Victor lui a demandé s'il accepterait de l'enculer à nouveau
  • Tiens donc ? Et ensuite ?
  • Je ne sais pas, l'esclave s'est rhabillé et Victor est sorti avec lui.

oilà au moins une conversation insolite. Kriss me refait mettre debout, tripote un peu le bout de mes seins pour raffermir mon érection qui se laissait un peu aller et en prime m'envoie une paire de gifle.

  • Prend la craie et écris ce que je vais te dicter
  • Oui Maîtresse !
  • Ecris " J'aime beaucoup sucer des bites et me faire enculer ! "

Je trouve l'ordre débile mais je m'exécute, je n'ai aucune honte ni aucune gêne à écrire cela, si cela peut lui faire plaisir

  • Mais qu'est ce que tu as écrit !
  • J'ai écrit ce que vous m'avez dicté, Maîtresse !
  • Et menteur par-dessus le marché. Viens voir Jenna !

Jenna s'approche de moi. C'est une très belle femme superbement foutue, mais elle est loin d'avoir le piquant de ma maîtresse.

  • Je peux le punir !
  • Ne te prive surtout pas !

Et, vlan, Jenna me balance 2 gifles, elle ne sait pas bien faire, mais heureusement elle n'a pas voulu me faire trop mal. Elle se saisit ensuite d'une règle d'écolier :

  • Donne tes doigts !

Voilà des années que je n'avais pas reçu cette punition, j'en avais même oublié l'existence, je tends mes doigts de la main droite

  • Compte avec moi !

  • Un, Aie, deux ! Ca fait quand même assez mal

  • Non mais dis donc du vas arrêter de ronchonner.

  • Oui maîtresse ! Je me reçus ainsi 10 coups de règles sur chaque main, maintenant j'ai le bout des doigts tout endolori.

  • Prend la craie et écris ta punition : 1 lécher le trou du cul de Jenna 2 la bougie 3 les élastiques 4 les orties 5 cinquante coups de martinets.

Je me demande comment je vais supporter tout cela d'autant qu'il y a là dedans des trucs qui ne me disent rien du tout. Mais c'est surtout la première punition qui m'inquiète, sucer un trou du cul n'a jamais été une punition pour moi, plutôt une récompense ; a moins que... Mais, mes réflexions s'arrêtèrent là, Kriss ordonnant : - Retire-lui sa culotte ! Je le fis, découvrant par la même occasion une très belle chatte rasée de près. - Renifle la culotte ! C'est ce que je craignais, il y a un tas d'odeurs là-dedans et si certaines respirent l'intimité de la féminité, d'autres ne m'inspirent guère ! - A genoux et lèche lui le cul ! Manifestement son cul n'est pas bien propre. J'hésite et je fais une diversion en lui embrassant les fesses. - Pas les fesses, le trou ! - Mais maîtresse, il est un peu sale ! - Justement nettoie-le ! - Mais vous m'aviez dit que l'on ne ferait pas de s c a t o ! - Je sais, je ne t'obligerais pas ! Mais tu peux nous faire plaisir, ce n'est pas vraiment de la s c a t o , et regarde comme on te fait bien bander. - Non ! - Tu vas quand même essayer, on insistera pas, tous ceux qui ont essayé en ont redemandé ensuite ! Je ne la crois pas bien sûr, mais elle me tire les cheveux et me place mon visage contre l'anus de Jenna ! - Maintenant lèche ! Je me f o r c e , puis, je m'aperçois qu'à part une odeur un peu forte et pas franchement agréable, le fait de la lécher ne me provoque aucun dégoût. Du coup, je me mets à bander et lui lèche le cul avec application, allant même jusqu'à pénétrer ma langue dans son anus. - Quel bon esclave ! Me dit Kriss, tu le referas ? - Oui Maîtresse ! - Tout à l'heure, j'irais chier, je ne m'essuierais pas et tu me serviras de papier à cul ! - Oui Maîtresse !

La première séance s'était terminée de façon inattendue, alors que j'attendais la suite de mes châtiments, Angélique s'est soudain approchée de Kriss et lui chuchota quelques mots à l'oreille, ce qui eu pour effet de faire entrer cette dernière dans une folle colère :

  • Espèce de salope, t'as rien d'autre à foutre que d'annoncer des nouvelles comme ça ! hurla -t-elle en lui adressant simultanément une magistrale double paire de gifles
    • Pardon Maîtresse, murmura l'Antillaise en se mettant à genoux.
    • Ce soir tu auras 20 coups de martinets, je n'ai plus le temps maintenant, puis s'adressant aussi bien qu'a Jena qu'a moi-même :
    • Désolé j'ai un contretemps ! On arrête ! Venez avec moi. Je suivais donc Kriss, accompagnée des deux femmes jusque dans une pièce qui devait lui servir de bureau, là, elle consulta son agenda :
    • Bon ! toi j'espère que tu vas revenir, Jeudi prochain, j'ai un couple qui vient pour le déjeuner, mais ce sont surtout des spectateurs qui participent un peu, ça tombe très bien, pointe-toi vers deux heures, ou plutôt non, ça me donne une idée je t'invite aussi à déjeuner, viens à 11 heures et demi pile

Elle ne me demandait pas mon avis ! Je m'absente très rarement de mon travail, et trouver un prétexte dans un délai aussi court ne serait pas évident ! - Car tu viendras n'est ce pas ? - Oui maîtresse ! "murmurais-je sans réfléchir Jena semblait dépitée, - Putain, c'est frustrant tout cela, je peux pas le finir, ton esclave - Il n'en est pas question, c'est mon esclave et c'est moi qui le dresse ! - On peut peut-être l'encager le temps que tu reviennes - Je ne sais pas quand je vais revenir, amuse-toi avec Angélique si tu veux mais ne me l'abîme pas, j'y tiens, mais avant, dis-moi esclave : est-ce que tu veux jouir ? Oui Maîtresse ! - Et tu crois que tu l'as mérité - Je ne sais pas Maîtresse - Bon, tu vas te branler pendant qu'Angélique te fouettera avec le martinet - Merci Maîtresse !

 Et sur ce, elle disparut de la pièce, tandis qu'Angélique allait rechercher un martinet, elle revint quelques instants plus tard et sans préambule se mit à me claquer les fesses !
 - Dépêche-toi de te branler ! Esclave !
 Il n'est pas évident de se masturber sous les coups quand on en a pas l'habitude, mais néanmoins, je parvins à éjaculer relativement rapidement

 Entré chez moi, je me demandais néanmoins si j'irai à ce rendez-vous la semaine prochaine, D'un coté l'envie de me soumettre à une aussi belle femme était quasiment irrésistible, d'un autre coté, un certain nombre de punitions parmi celles qu'elle m'avait annoncé ne me disait pas grand chose. Mais je me dis que finalement je ne m'en étais pas trop mal sorti jusqu'ici.

 Le jour fixé, je me dirigeais vers son adresse que je connaissais maintenant, en me débrouillant pour ne pas être en retard. Drôle d'idée pour une Maîtresse d'inviter un esclave à sa table, mais après tout pourquoi pas ? Je supposais qu'avant la domination proprement dite, on pouvait parfaitement parler d'autres choses. Ne voulant pas arriver les mains vides, j'achetais un volumineux bouquet de fleurs, en espérant qu'elle l'accepterait sans problème. Ce n'est qu'à moitié rassuré que je sonnais à sa porte. Angélique la belle Antillaise vint m'ouvrir, et me libéra de mon bouquet.. Elle me conduisit ensuite vers la cuisine, où elle me transmit l'ordre de me déshabiller intégralement.. L'ordre m'intrigua, mais après tout pourquoi pas, un déjeuner à poil serait peut-être une bonne façon de s'exciter avant de passer à la suite. Je m'exécutais donc et attendais tandis qu'Angélique s'affairait

 10 minutes plus tard j'eus le bonheur d'apercevoir ma Maîtresse, Kriss était habillée d'un fuseau blanc super moulant et d'un chemisier très transparent qui laissait voir directement sa belle poitrine. Elle était réellement très désirable.
 - Merci pour les fleurs, t'es un chou me dit-elle en esquissant un petit bisou sur le bord des lèvres ! Puis elle sortit de la cuisine !

 J'étais à la fois rempli de bonheur de la façon dont elle réagissait, en même temps qu'intrigué, ce genre de conduite n'ayant pas grand chose à voir avec la domination. Kriss revint plusieurs longues minutes plus tard, et me passa un collier d'esclave, auquel elle attacha une laisse.
 - Bon ! Tu vas marcher à quatre pattes derrière moi !
 Je craignais alors le pire
 - Oui Maîtresse !

Elle me conduit à la salle à manger où 3 personnes finissaient de prendre l'apéritif, il y avait là le couple dont elle m'avait parlé. Elle, Chantal, belle femme, la quarantaine assez plantureuse, elle était habillée d'une robe très décolletée d'où elle avait pris soin de faire sortir de beaux tétons biens durs et bien sombres, le mari, Jérôme, assez quelconque, quasiment chauve et complètement myope. Le troisième personnage était Hélène, une grande blonde aux cheveux courts et à la peau laiteuse, vêtue d'une grande robe noire, fendue des 2 cotés, et en haut d'une sorte de débardeurs à grosses mailles laissant apparaître les contours et les détails d'une fort belle poitrine. La beauté de ce spectacle me fit en partie oublier l'humiliation de ma position, d'autant qu'à ce moment là personne ne sembla s'intéresser à ma personne. - On passe à table ! Annonça Kriss, me tenant toujours en laisse.

 C'est à ce moment là que je réalisais que la table n'avait été dressée que pour 4 couverts, le mien n'était pas sur la table mais sous la table, un sentiment de honte m'envahit, c'était donc cela l'invitation de ma maîtresse, à sa table, oui, mais comme un chien..
 Ce qui se passa ensuite fut totalement improvisé. Alors que les convives s'apprêtaient à s'attabler, Chantal demanda le plus simplement du monde :

 - J'irais bien faire un petit pipi avant ! C'est où les toilettes ?
 Kriss n'hésita pas une seconde
 - T'as qu'à pisser sur l'esclave, il sera ravi !
 Chantal eue sur le moment l'air d'être déstabilisée par cette réponse imprévue, puis réalisant qu'il ne s'agissait nullement d'une plaisanterie
 - Non désolé, je ne peux pas faire çà !
 - Mais, si essaie, allez vas-y ! " l'encouragea Hélène
 - Non, je ne pourrais pas !
 - Tiens, je vais le faire d'abord, et après je te passe le relais

 Joignant le geste à la parole, Hélène retira prestement sa culotte et m'ordonna de m'allonger sur le dos, elle se plaça debout au-dessus de moi et ne tarda pas à faire couler un petit jet qu'elle dirigea vers mon sexe qui redevint à nouveau tout dur, puis elle avança afin de se positionner au-dessus de mon visage, je devinais ce qui allait se passer, elle s'accroupit légèrement, et tandis que tout le monde regardait autour de moi, je reçus l'ordre d'ouvrir la bouche et d'avaler "sans en perdre une goutte, le précieux liquide", la quantité étant restreinte et le goût franchement agréable ce ne fut pas une corvée.
 - Allez à toi maintenant
 Cette fois Chantal n'hésita plus, elle adopta la même position initiale qu'Hélène, mais ce fut assez long à venir, puis soudain ce fut le déluge, elle avait vraiment une grosse envie, tout mon corps se mouillait de sa bonne pisse chaude et se répandait sur le carrelage. Hélène complément excitée remonta son soutien gorge libérant 2 seins magnifiques, puis recueillant avec les creux de ses mains un peu de la pisse de Chantal s'en barbouilla la poitrine,
 - Pisse-lui dans la bouche !

 Effectivement la fin du jet fut pour ma soif, mais l'abondance du liquide m'empêcha de tout boire.. Je pensais que cette petite fantaisie se terminait quand Jérôme annonça son intention de pisser à son tour. Voilà qui ne m'amusait pas trop, heureusement le lascar avait surestimé ses possibilités et je n'eus pas à le supporter très longtemps. N'empêche que le plaisir éprouvé au contact des deux pisseuses s'effaçait place à la honte de ce troisième contact..

 Rien de tout cela n'avait été prévu et Kriss rappela à tout le monde qu'on allait manger assez vite, pour pouvoir pleinement profiter de l'après-midi, Le repas était en effet léger et rapide (crudités, quiche, salade, fruits). Le service était assuré par Angélique qui pour la circonstance avait revêtu une tenue de soubrette, qui laissait à l'air sa belle poitrine d'ébène et ses petites fesses galbées.

 Elle me servait après les autres, sans aucun ménagement en me balançant les aliments dans mon assiette posée au sol. Je n'avais pas trop faim, et la position n'était guère pratique, comme je crus qu'on ne faisait pas attention à moi, je résolus de m'asseoir en tailleur pour manger, mais un coup de cravache de maîtresse Kriss me fit reprendre vite la position initiale.. Du coup les voilà qui me regarde tous, je n'ai pas très faim, il faut bien l'avouer, d'autant que mon assiette est maculée de l'urine de ces Messieurs dames, je laisse donc tomber. C'est Jérôme qui suggère qu'on me punisse puisque je n'ai pas l'air d'apprécier les bons petits plats de ma maîtresse, mais Kriss ne relève pas, son intention n'est ni de me f o r c e r à manger, ni de prolonger notre présence autour de cette table.

 Il fut convenu que l'on boirait le café en bas dans le donjon, pendant ce temps, ma maîtresse me conduisit à quatre pattes jusqu'a la salle de bain, et surprise me demanda de me doucher ! Cinq minutes après elle revint me chercher et nouvelle surprise, me déposa un petit bisou sur le coin des lèvres en murmurant :
 - Tu es un bon esclave, continue à nous donner du plaisir !
 J'en étais tout transporté de bonheur !

 C'est bien sûr en laisse que je rejoins le donjon, je pensais y retrouver d'autres personnes, mais non. Les 3 "invités" étaient assis sur des poufs prêts à savourer le spectacle. C'est à eux que kriss s'adressa en premier :
 - Bon vous êtes mes invités, mais ici vous êtes sous mes ordres. C'est moi et moi seul qui dirige les opérations, si j'ai besoin de vous je vous le dirais !

 Puis elle me dirigea vers une croix de Saint-André ou elle m'attacha de face. Elle commença par me passer un lacet qu'elle sera autour de mes couilles et à la base de ma queue. Puis entreprit de me serrer le bout des seins. Contrairement à la dernière fois ou elle avait agi progressivement, elle commença très fort m'arrachant un cri de douleur, c'était fort mais supportable, elle savait parfaitement ce qu'elle faisait. C'est avec art qu'elle m'en écrasait le bout tout en leur imprimant un mouvement de pivotement. Bien évidemment ma queue se dressa arrogante grâce à cet habile traitement
 - Qui t'a autorisé à bander, petite salope ?
 - Pardon Maîtresse !
 - Tu vas être puni pour cela
 - Oui Maîtresse !

 Kriss alla chercher 2 pinces à seins et me les plaqua, elle se débrouilla pour me les placer le plus près possible de l'extrémité, là où cela fait le plus mal. Je pensais qu'elle allait s'amuser avec, mais pas du tout, elle décrocha du mur un martinet à longues lanières, et commença à m'en frapper les cuisses
 - 10 coups sur chaque cuisses, ça c'est le hors d'œuvre !

 Au 20e coup elle s'arrête, me sourit en tenant le martinet à la main, je sais qu'elle va frapper mais j'ignore où. Son regard a en ce moment quelque chose de profondément troublant, je suis complètement dominé par cette femme, et prêt à subir (presque) n'importe quoi de sa part. Elle se met soudain à lécher l'extrémité du martinet et je m'aperçois à ce moment là que celle-ci à la forme d'un gode. Je pense alors qu'elle va me le faire lécher. Mais non, le coup arrive en plein sur la queue. Je hurle, mais en reçois un deuxième.
 - Pitié Maîtresse, ça fait trop mal
 Elle ne veut rien savoir, et continue. Au 8e coup elle s'arrête me laissant presque groggy
 - Qu'est ce qu'on dit ?
 - Merci Maîtresse !
 - Dis donc, pouffiasse, tu as employé un mot interdit quand je t'ai frappé
 Je comprends instantanément
 - Oui Maîtresse, j'ai imploré votre pitié, je ne ferai plus, punissez-moi Maîtresse !
 - T'inquiètes pas pour la punition, tu ne vas pas être déçu, mais en attendant tu vsa voir ce qu'il va t'arriver

 Cette fois le coup est pour ma poitrine, le coup est si bien ajusté que la pince se déplace légèrement sur mon téton. Je comprends que c'était le but de la manœuvre. Nouveau coup de fouet, cette fois la pince tombe en me faisant hurler de douleur, Elle vise l'autre qui tombera qu 3e coup. Je n'en puis plus ! Elle ramasse les pinces et me les replace. Je commence à me demander si je vais tenir le coup à ce rythme là. Cette fois elle prend un temps infini pour viser avec son martinet, manifestement elle veut le faire tomber du premier coup. Splash, le coup tombe, cinglant douloureusement ma poitrine tandis que mon téton ressent cruellement la t o r t u r e  de la pince qui se détache. Je suis en sueur, il est temps qu'elle passe à autre chose, j'attends avec appréhension le deuxième coup de martinet. Cette fois encore elle détacha la pince du premier coup. Je panique quand je la vois ramasser les pinces, mais ce n'est que pour les ranger. Elle me détache de la croix. Comme elle ne m'a fouetté que devant, je pense qu'elle va me retourner pour me fouetter le dos et les fesses, mais non, ce sera sans doute pour plus tard
 - A genoux salope !
 - Oui maîtresse
 - T'es venu-là pourquoi aujourd'hui
 - Pour vous obéir, maîtresse
 Elle me balance une gifle magistrale
 - Non ce n'est pas la bonne réponse !
 - Pour vous obéir
 Nouvelle gifle
 - Alors ça vient ?
 Je n'ai aucune idée de la réponse qu'elle attends, puis me remémorant ses "promesses" de la dernière séance"
 - Pour vous nettoyer le cul, maîtresse
 Nouvelle gifle !
 - Non t'es venu pour te faire enculer !
 - Oui maîtresse
 - Dis-le je veux t'entendre le dire
 - Je suis venu me faire enculer, Maîtresse !
 Puis Kriss s'adressant à Jérôme
 - Viens ici ! , Connard !
 Kriss me fit placer derrière lui
 - Bon, tu vas lui toucher la bite, mais attention pas n'importe comment, n'oublie pas les gestes que tu vas faire, j'espère qu'on aura l'occasion de les refaire. Tu lui caresses la braguette jusqu'à temps que tu sentes son sexe durcir.
 - Ca y est c'est dur
 - Bon alors maintenant tu ouvres la braguette, et tu continues à le caresser à travers le slip, voilà caresse-le doucement on n'est pas pressé. Tu as vu Chantal ce qu'il se fait faire ton mari ? Tu savais qu'il était pédé ?
 - Il me surprendra toujours
 - Bon maintenant tu peux lui sortir la bite, et tu la branles doucement
 L'idée de faire des choses avec ce type ne m'enthousiasmait guère, mais il faut avouer qu'il avait une belle pine et un gland superbe.
 - Sort lui les couilles maintenant et caresse-les. Bon maintenant tu peux lui baisser le pantalon et le slip. Allez maintenant suce-le
 Sans trop réfléchir, je gobais la verge de Jérôme et entrepris de la sucer, le contact était doux et chaud et la sensation d'interdit lié a cet acte m'excitait considérablement. Mais soudain je sentis sa queue se raidir v i o l emment dans ma bouche. Cet abruti était en train de jouir dans ma bouche !
 - C'est vraiment malin ! Retourne à ta place !
 Chantal et Hélène étaient m o r t es de rire devant cette situation imprévue
 - Ca vous fait rire vous deux, pas moi, déshabillez-vous on va s'amuser.

 Les deux femmes étaient assez différentes, Chantal affichait des rondeurs un peu limites sur un corps sur une peau trop blanche et une chair qui deviendra vite flasque. Les fesses avaient une certaine tendance à la cellulite, mais la poitrine restait agréable quoique très légèrement tombante. Hélène elle avait le corps tout bronzé sauf la marque d'un slip brésilien, on sentait l'aérobic et les massages esthétiques.
 Kriss fit mettre les 2 femmes à genoux
 - Toi l'esclave tu vas leur lécher le cul, et tu devras dire laquelle des 2 a le cul qui sent le plus fort !
 Voici une nouveauté inattendue, mais sucer un trou du cul bien propre ne m'a jamais gêné, restait à savoir si ceux-ci l'étaient. Je commençais par Chantal et me souvint à ce moment là qu'aucune des 2 femmes ne s'était lavée après le pissing de midi. Je fourrais donc ma langue dans son anus, bien agréable à lécher sans ressentir quelque chose de particulier.
 - Alors il est comment son trou du cul ?
 - Il est propre maîtresse !

 Je léchais à présent l'autre, la différence fut vite évidente, et me rendant compte que personne ne m'obligeait à la lécher davantage je stoppais immédiatement !
 - Celui là est moins propre, Maîtresse !
 - Et bien justement nettoie-le !
 Très curieusement, et contrairement à la première fois, je m'aperçus que cet ordre dégoûtant me plaisait, si ma maîtresse m'imposait cette épreuve c'est qu'elle savait que j'étais capable de le faire, pour rien au monde je ne voulais la décevoir. Je donnais donc des coups de langue au plus profond que je pouvais, rencontrant un goût âcre et troublant.
 - Bon ça devrait aller, je vais vérifier !
 A ces mots, Kriss introduisit un doigt dans le cul d'Hélène et entreprit quelques mouvements de va et vient, puis le ressortit
 - Lèche
 J'évitais de regarder et léchais le doigt de ma maîtresse
 - T'es vraiment qu'un papier à cul !
 - Oui maîtresse !
 - Tu viens de lécher 2 culs, t'en lécherais bien un autre ?
 - Oui Maîtresse, le vôtre !
 - Tout à l'heure si tu es sage !
 - Merci maîtresse
 Kriss fit relever les 2 femmes qui ne regagnèrent pas leurs places pour autant et qui restèrent aux côtés de ma maîtresse.

 Elle me fit allonger sur une table ou elle m'attacha par les poignets et par les chevilles, puis s'éloigna de quelques mètres pour revenir avec une bougie allumée ! Je n'avais jamais eu l'occasion de tester ce supplice. Cependant il ne m'inspirait guère. Si une dominatrice peut toujours doser la portée d'un coup de martinet ou de cravache, si elle peut doser la douleur d'une pince comment par contre doser la brûlure d'une bougie en fusion. Comme pour me donner confiance, Kriss se débarrassa (enfin) de son chemisier et entreprit de faire couler la première cire sur son sein, ce qui lui provoqua un petit frémissement, puis sans transition, elle en coula sur la paume de mes mains, curieuse sensation,, une douleur vraiment à la limite de la brûlure, mais ce n'est pas une brûlure, ça picote et c'est loin d'être désagréable. 

Elle dirigea ensuite la coulée vers mes seins, zone beaucoup plus sensible, je poussais quelques petits cris, mais la douleur n'avait malgré tout rien à voir avec ce qu'elle m'avait infligé avec le martinet et les pinces. C'est ensuite mon nombril qu'elle attaque s'amusant à le remplir entièrement de cire en fusion. J'appréhendais la suite sachant que la prochaine cible serait ma bite. C'est effectivement ce qui se passa, mais auparavant elle prit deux bougies plus grosses et qui coulaient donc plus, une sorte de chaleur trouble envahit soudain mes couilles, provoquant à nouveau une belle érection, c'est exactement ce que cherchait Kriss qui fit ensuite couler le liquide sur ma verge et sur mon gland.

 - Bon il reste encore plein de truc à faire, on va pas tout faire aujourd'hui ! Mais tu vas avoir ta récompense. Avant tu vas aller dans la salle de bain et te débarrasser de tous les bout de bougies que tu as sur le corps. Au passage tu demanderas à Angélique de nous servir le café. C'est elle qui te redescendra.

 Il n'est pas évident de retirer les morceaux de cire qui s'agglutinent dans les poils, la prochaine fois, avant de venir, je me raserai le corps intégralement et j'espère que cela plaira à ma maîtresse. Au bout d'un 1/4 d'heure je n'étais toujours pas prêt, Angélique pénétra dans la salle de bain
 - Je n'ai pas fini
 - Je sais j'attends
 J'avais l'air un peu idiot de m'escrimer avec mes morceaux de bougies fondues coincés dans les poils de mes couilles. J'essayais d'engager la conversation.
 - C'est pas évident vous savez !
 - Ce qui est évident c'est que maîtresse Kriss va perdre patience !
 A ces mots Angélique se saisit d'un téléphone portable
 - Il n'est pas encore prêt !
 - Bien Maîtresse !
 Angélique farfouilla dans l'armoire de la salle de bain et en ressortit une bombe de gel à raser et plusieurs rasoirs.
 - Tu finis avec cela ! Kriss ne veut plus voir un seul poil ! Je vais revenir !

 J'entrepris donc de me raser tous les poils. Cette opération n'est pas très rapide mais je réussis à la mener à bien, éprouvant une nouvelle sensation trouble en caressant mon corps devenu lisse.
 Angélique revint, elle tenait dans ses mains des bracelets en cuir, sans que nous quittions la salle de bain, elle me fit mettre à genoux et m'attacha les chevilles avec une première paire, les poignets derrière le dos avec la seconde paire, puis le rejoignit les 2 paires avec une courte chaîne qui m'empêcherais de me relever
 - Voilà ! Tu restes là un moment, on viendra te rechercher quand on aura besoin de toi !

 Je ne m'attendais pas à cela, mais puisque cela faisait partie du jeu... Je n'avais pas ma montre et il n'y avait pas de pendule dans cette pièce. Toujours est-il qu'au bout d'un moment j'avais les genoux en compote, à f o r c e  de contorsion je parvins à me coucher en chien de fusil sur le carrelage froid, pour me rendre compte aussitôt que la position était tout aussi inconfortable et difficilement réversible. Je perdais la notion du temps me demandant quand même ce que je faisais là. Ce genre de punition n'ayant rien de particulièrement excitant. Je ne tardais pas à avoir une envie de pisser irrésistible. Il était temps qu'on revienne me chercher, amis personne ne venait. Je criais assez fort :
 - Ya quelqu'un j'ai envie de pisser

 Mais je savais bien que personne ne viendrait, sauf quand kriss l'aurait décidé. Je n'avais qu'une solution attendre, étant bien entendu que si je m'octroyais la fantaisie de faire un raffut du diable, la domination s'arrêterait brusquement et définitivement, ce que je n'osais envisager.
 L'envie d'uriner me prenait à la tête, et je laissais convaincre que je n'avais pas à me gêner, et je me résolus à me pisser dessus.
 Peu de temps après Angélique vint me délivrer :
 - C'est quoi ce bordel
 - J'avais trop envie.
 - Je devrais te faire nettoyer, mais je ne peux pas faire attendre maîtresse kriss, mais tu ne perds rien pour attendre, j'en ai marre de passer mes journées à ramasser la pisse !

 J'ignorerais toujours ce qui s'était passé pendant mon enfermement, mais je constatais que Jérôme était maintenant enfermé à poil dans une cage, Hélène était attachée à la croix de Saint André, ses seins et sa chatte étaient pris dans des pinces et tout son corps était strié de marque de martinet. Quant à Chantal et Kriss elles étaient enlacées sur un tapis, l'air épuisé comme si elles venaient de s'envoyer en l'air. A mon arrivé Kriss se redressa :
 - Bon tu vas me regarder chier !
 - Mais maîtresse, nous ne devions pas faire de s c a t o 
 - Oui mais je suis une menteuse et de toute façon tu vas adorer !
 La tournure des évènements ne me plaisait guère. Kriss détacha Hélène et fit sortir Jérôme de sa cage. Elle s'accroupit sur le carrelage et commença à pousser, j'évitais de regarder. Quand elle eu finit, elle se mit à genoux, fesses relevées et ordonna :
 - Viens lécher le cul plein de m e r d e  de ta Maîtresse !
 J'obtempérais, d'abord hésitant, puis me persuadant qu'il fallait le faire pour ma maîtresse. Contrairement à ce que je craignais son trou du cul n'était pas trop pollué. Je le lui nettoyais donc avec application.
 - C'est bien tu es un bon esclave, tu vas maintenant te faire jouir pendant que je te pisse dans la bouche !
 - Oh quel beau cadeau ! Merci maîtresse !
 Et joignant le geste à la parole, ma maîtresse posa sa chatte sur ma bouche et la rempli de ce délicieux liquide, tandis que d'une main fébrile je faisais enfin jouir ma bite.
 - Je pourrais revenir vous voir, Maîtresse ?
 - Sa réponse ne fut qu'un sourire mais ce fut la plus belle des récompenses.

Boris

Très belle histoire merci pour le partage .
Magnifique!! Merci
Histoire enivrante, agréable à lire du début à lafin. Il y a aussi un curieux mélange de grande Domination, dr soumission profonde, de sensualité et de soumination !
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